mardi 12 novembre 2013

de Pékin à la frontière vietnamienne, le Grand Bond en Avant




Résumé cyclo-pédalistique (kilomètres parcourus: 17248 km; kilomètres pédalés: 4002 km; collecte pour Handichiens: 1165 €, soit 2 oreilles du chien, et un bout du museau ! (Objectif : 15000 euros) 


9 au 10/09:…..En route pour Guilin
Un fois encore nous éprouvons la peine du départ en quittant nos anges gardiennes Christine, Zoe et Eva, qui nous ont donné beaucoup de leur temps et de leur gentillesse lors de notre séjour sur Pékin. Pékin est engorgée d’embouteillages, et une brume épaisse flotte, qui nous accompagnera une grande partie du voyage vers Guilin. La gare Ouest de Pékin ressemble plus à une immense aérogare, qu’à une gare de train.

 Les couloirs sont interminables et organisés en terminaux à l’identique des aéroports, avec d’immenses salles d’attente. Nous comptons 11 étages dont plusieurs reservés au rail. Pour rentrer, dans la gare, il faut montrer patte blanches, et des centaines de portiques électroniques assurent le contrôle.. Dans les longs couloirs et les halls d’attente, un grand nombre de boutiques proposent, en plus des classiques boutiques de vêtements, de nombreuses boutiques d’alimentation.  
Lors de l’accès aux quais, un nouveau contrôle, puis pour finir dans le train où chaque contrôleur ou contrôleuse attend au garde à vous devant son wagon.


 Cette organisation ressemble à celle que nous avions trouvée dans le Transibérien avec les « Provodnis »la vie dans chaque wagon étant sous placée sous la férule d’un contrôleur qui est maître de l’ordre et du ménage dans son wagon. 
 



Tout le long du trajet, ils s’affairent pour essayer de maintenir le propre, alors que les passagers passent leur temps  à manger du matin au soir et du soir au matin. 



La vie du passager ordinaire consiste à : prendre possession de sa couchette ; s’asseoir ; cuisiner des plats lyophilisés grâce à l’eau chaude disponible au robinet ; manger ces plats (nouilles, pilons ou pattes de poulets) ou d’autres aliments achetés à bord (saucisse, crackers, snacks…) ; roter avec assurance ; évacuer avec force bruit ; aller aux toilettes ; dormir en ronflant, puis repéter la séquence :  cuisiner; manger; roter; évacuer; aller aux toilettes; dormir ; ronfler. La vie s’organise, un constant va-et-vient de passagers, de contrôleurs, de vendeurs ambulants avec des petits chariots proposant œufs durs, poulets, saucisses de porcs fumées qui feraient rougir de honte une saucisse de Morteau, plats déshydratés dans de grands bols en plastique, ou bien encore pâte dentifrice, foulards, porte feuilles en cuir, jeux pour enfants… Les voyageurs sont pour l‘essentiel des familles plutôt tranquilles, à l’exception d’une qui passera son temps outre à manger, mais a parler très fort en jouant aux cartes.
 Derrrière la vitre du train, défileront durant tout le voyage, une succession de villes industrielles tentaculaires, où l’on trouve parfois des petites parcelles de jardins,, qui apportent une touche de couleurs à la grisaille ambiante. 



Ce patchwork de béton et de verdure, cède la place de temps à autre, à des champs de céréales poussiéreux, dont les épis sèchent sur les toits d’habitations tout aussi poussiéreuses ! Des Rhus aux épis flamboyants, en ce début d’automne, ajoutent à leur tour une autre touche de couleurs rousses. Pourtant, la verdure des feuillles semble avoir du mal à transpercer au travers de la couche de poussiéres industrielles qui se dépose en quantité dans tout le paysage. On ne voit pas de troupeaux, seules quelques rares chèvres efflanquées broutent une herbe rare dans les arrières cours des maisons. Ailleurs ce sont des moutons qui paissent le long de la voie ferrée. Chaque ville traversée est hérissées de grues, qui attestent une démographie grandissante dans ce pays qui compte à l’heure actuelle pas moins de 1 milliard et quelques 500 millions d’habitants. Ces villes champignons arborent fièrement des boulevards à 4 ou 6, voire 8 voies, qui semblent attendre d’hypothétiques voitures qui vont arriver avec le boom économique de la Chine.  La différence est flagrante avec Pékin, où par ailleurs 1/3 des voitures sont des voitures de fonction (ou de fonctionnaires !)
Pendant ce temps, dans le train, les voyageurs se sustentent allègrement. Qui des pâtes, qui du riz (une famille s’est même fait prendre en flagrant délit par le contrôleur.. en train de faire marcher un auto-cuiseur dans le compartiment). Bientôt, peut-être, un barbecue va s’allumer ! Les plats sont très variés, allant du simple grignotage de « snacks », au repas complet riz-poulet-piments, en passant par les éternels plats deshydratés que nous voyons depuis longtemps déjà arriver en Europe, et que les voyageurs réhydratent avec l’eau chaude du samovar.    
Les champs, maintenant sont immenses, des grandes serres apparaissent. Plus loin, nous abordons une zone humide irriguée grâce aux apports d’une grande rivière dont les eaux marrons portent le limon qui enrichira la terre.  




    
Le lendemain,au reveil, nos narines sont chatouillées par la délicieuse odeur ...des pâtes deshydratées, et le bruit des grignotages. Le ciel bleu, est certes un peu voilé,  mais découvron un paysage de douces collines, de rizières lumineuses, de petits jardins irrigués tirés au cordeau, de plans d'eau où se reflétent les papayers, des vergers étagés, des bambouseraies et des palmeraies, Manifestement, nous avons changé de latitude et d'environnement durant notre sommeil, et cela nous met en joie. Les villes que nous traversons nous rappellent un peu le Japon, et ce souvenir qu remonte à la mémoire, nous remplit d'émotion.


Le long de la voie férrée, de minuscules jardinets sont arrosés à coup de seaux d'eau portés à bout de bras, ils sont souvent lovés entre 2 maisons ou  2 immeubles. Des grandes bassins sont creusés pour permettre de stocker l'eau pour ce travail ingrat. Tels de jolis champignons, les chapeaux chinois ponctuent la verdure, et les paysannes maintiennent en équilibre , des fardeaux inimaginables. à l'aide d'un balancier calé sur leurs frêles épaules. Nos sommes vraiment dans un autre monde, où des centaines de millions des femmes concourrent à faire marcher une agriculture aux contours ancestraux.
De rouge, la terre devient plus grise, et les champs sont constellées de gros blocs de calcaires, issus des paind e sucre karstique que nous apercevons de temps à autre.
Les petites plantations prennet des rondeurs pour épouser les lignes de niveaux et les flancs de collines, la contemplation des ces arabesques paysagées repose l'oeil, après les quadrillages stricts que nous avons vus jusqu'alors. Dans la végétation dont la luxuriance ne peut nous laisser indifférents, les lauriers roses, les hibiscus et les bougainvillés aqpparaissent et donnent une touche de couleurs agréables à l'oeil. En ce début d'automne, certains arbres endossent tranquillement leurs habits de couleurs. Les petites fermes, moodestes, en briques et terre séchée, semblent vouloir se mette  l'abri au creux des ravines, tandis que les grandes villes enveloppées d'un halo de "brume", grignotent peu à peu leur espace, brisant cette harmonie si fragile. Par ailleurs, l'érosion allant bon train, des flancs entiers de collines sont protégées par de gracieux murs de soutenements en   bétons, comme ceux que nous avons vus au Japon: épousant les formes des montagnes, ils dessinent un élégant quadrillage souvent peuplés de fleurs ou de petits arbres. 
Quelques cimenteries et des cheminées fumantes, dépassant de la végétation luxuriante,  dispersent dans l'air leurs poussiéres délétéres, qui se déposent allégremment sur les feuilles des arbres, et les toits des maisons. Les façades des maisons de parent de carreaux de faience. Par ici, ce sont des plantations de kiwi, par là des plantations de pins maritimes, plus loin encore des champs de curcurbitacées aux fleurs jaunes vifs enroulées sur des véritables forets de piquets, qui apportent une touche ordonnée au milieu du chaos végétal tropical. Au beau milieu des rizières, le riz séche sur des nattes souvent le long de la voie, au ras des traverses, ainsi que du piment rouge qui apporte un violente touche de couleur sur le béton des quais!
Dans les nombreuses gares que nous traversons, les gardes barrières et les contrôleurs se mettent au garde à vous, ainsi que le personnel d'entretien de la voie, au passage du convoi. 


Certaines maisons aux murs de terre séchées, portent une toiture au faîtage relevé typiquement asiatique, alors que d'autres ont des toitures terrasses plates à l'identiques des maisons du Sud méditerranéen. 

Après quelques 28 heures de voyage, nous arrivons à Guilin, et nous prenons nos quartiers au Riverside Hostel, installé sur les rives même de la rivière. Cet Hostel se révélera le plus confortable que nous aurons eu depuis le début de notre voyage. Ici, une fois de plus, nouus pouvons profiter de la gentillesse des gens de la rue chinoise, qui malgré la barrière de la langue, font tout leur possible pour nous faire arriver à bon port à l'Hostel, où nous sommes accueills bien aimablement.


11 au 18/09:…..Guilin et la régio Après quelques 28 heures de voyage, nous arrivons en gare de Guilin, où nous récupérons tout le matériel.

Nous prenons nos quartiers au Riverside Hostel, installé sur les rives même de la rivière. Cet Hostel se révélera le plus confortable que nous aurons eu depuis le début de notre voyage. Ici, une fois de plus, nous pouvons profiter de la gentillesse des gens de la rue chinoise, qui font tout leur possible pour nous faire arriver à bon port à l'Hostel, où nous sommes accueillis bien aimablement.
Nous commençons par partir en quête d'une couturière pour réparer le pantalon de Hub (devenu trop large!!). Faute de trouver l'atelier, Hub finira par partir en scooter avec la couturière pour traverser la ville et trouver la fermeture éclair adéquate. 

Celle-ci fera le travail pour la somme exhorbitante de 0,5 €. Un scandale!

 










Nous faisons connaissance avc Guilin, ses parcs, ses scooters 
 


et ses restaurants bizaroides où on sert une nourriture assez étonnante: poissons spatules, tortues, crapeauds, hamster et autres spécialités auxquelles nous ne gouterons pas.
 
 










 












Guilin est une ville active aussi la nuit




 
 
















De nombreux petits marchés s'étalent dans les rues


 




Nous partons ensuite faire une croisière sur la rivière Li, dont la vallée sinue au milieu d'un payage de pitons de Kartz hallucinants, recouverts d'une végatation tropicale luxuriante. A contempler les divers plans profonds du paysage, nous éprouvons la même émotion que nous avioons éprouvée quelques années auparavant en venant ici, en voyage organisé. 








Avec la brume qui flotte, le paysage semble comme dessiné à l'encre de Chine.




Après 4 heures de navigation de pur bonheur extatique (si, si!), en faisant abstraction de la flotille des nombreux bateaux de tourisme et autres qui sillonnent la rivière, nous débarquons à Yangshuo, village très touristique, où enseignes, bimbeloteries de toutes sortes, et échoppes de souvenirs parviennent à occulter les belles façades des maisons du vieux village, qui fut par le passé un port de pêche fluvial important, où était pratiquée la pêche au cormoran.




 







Aux alentours, la campagne environnante offre à nos yeux émerveillés, une image surranée et paisible. Les paysans complétent leurs maigres revenus en promenant les touristes, visiteurs ou futurs mariés sur des radeaux en bambous.
Version bambous


Version tubes de P.V.C


  












Un petit tour dans la campagnen environnante de Yangshuo, et de belles images












 
Après cette escapade fluviale, nous partons cette fois dans les montagnes, visiter les Terrasses de Longji, rizières accrochées à flanc de montagne, à  1200 mètres d'altitude. L'homme a depuis des siécles dompté la nature, en accrochant aux courbes de collines, de gracieuses rizières dont le spectacle ravit l'oeil. 


 



Ici, comme sur la rivière Li, il est nécessaire de faire abstraction des milliers de touristes qui viennent comme nous, et par bus entier, se remplir des yeux de cette beauté. Gérées par l'éthnie Yao, qui tire un très substanciel revenu de cette activité, permettant ainsi à cette communauté de rester sur ses terres ancestrales. Contempler ces terrasses fait prendre la mesure de la force et de la volonté d'enracinnement de l'homme, dans ces contrées reculées, inaccessbles il y a encore quelques années. Ces peuples ont su et on pu s'adapter aux caprices de la montagne, fondant leurs villages dans les courbes de la montange, au point de les rendre invisibles. Le résultat est saisissant en cette période de récolte, où le blond des bottes de pailles séchant au soleil, tranchent avec le vert des nouvelles pousses de la prochaine récolte. Toute une palette de couleurs, allant du jaune au brun, passant par le vert cru des nouvelles pousses, jusqu'au gris des eaux boueueses qui attendent la repousse. 

 


















Nous quittons cette région autonome du Guanxi, peuplée d'une trentaine d'éthnies minoritaires, avec le regret de ne pas avoir pu y passer plus de temps, et découvrir la vie quotidienne de ses habitants.     

Il est temps maintenant de reprendre la route et de nous remettre en selle, pour rejoindre Nanning, et passer la frontière sino-vietnamienne.









 Après quelques tours de roue, nous constatons que la direction de notre Camel Bike a du jeu. Après examen, nous devons nous rendre à l'évidence: la pièce de liaison qui assure la transmission vers la roue avant a pris un jeu trop important! Mis en cause: un boulon qui visibement n'a pas été monté à l'origine par le vendeur.

 A partir de là, va s'enclencher une course contre la montre pour tenter tout d'abord de trouver le fameux boulon manquant. La gentillesse des chinois, se manifeste une fois de plus. Dans la rue, un monsieur ne parlant pas un traître mot d'anglais, appelle sa directrice qui vient en voiture à notre rencontre pour nous  proposer de trouver un boulon pour resserrer la direction. La fameux boulon mis en place, nous repartons, pour quelques centaines de mètres, sans succés, le jeu de direction n'ayant pas disparu. Nous nous rendons à l'évidence: la pièce est cassée. Il est hors de question de prendre a route. Nous passerons une partie de la journée, chaperonné par David, le patron de Riverside Hostel, à courir les ateliers de soudeurs alu de Guilin, pour enfin en trouver un qui ressoude: soudure parfaite, sans coulure. Tout devrait rouler. 
Nous repartons donc tous les trois, sur la route de Nanning, pour la deuxième fois. Passés les premiers faubourgs, après une petite dizaine de kilomètres, la pièce ressoudée finit par lacher, heureusement sans conséquences pour nous. Le coeur gros, nous nous resignons à revenir en arrière pour prendre le temps de trouver une solution. Comme nous ne savons pas à cette heure, quelle va être l'issue dans les prochains jours,  Christian décide à juste titre de continuer seul sur la route de Nanning, Nous nous retrouverons peut-être quelque-part dans les prochaines semaines. 



A bord d'un bus de 60 places!, commandé pour nous par Riverside Hostel, nous retournons à la case "hôtel", où nous nous retrouvons un peu comme à la maison, tellement l'accueil qui nous est réservé est chaleureux. A partir de là, nous passons à la case "recherche_atelier_de_contrefaçon_qui_fasse_une copie_de_la_piece_cassée". Cela va donner à Hubert l'occasion de visiter tous les bas-quartiers de Guilin, en suivant en vélo David, pçur dénicher l'atelier capable de copier la piéce défectueuse. Dans un atelier digne de Zola, au fond d'une cour infâme, ils finissent par locailiser un .... tour de copieur fraiseur entièrement automatisé, piloté par ordinateur! Photo de la pièce pour en prendre les dimensions, ajustage sur l'écran, calcul des contraintes et le tour est joué! Reste à attendre 2 jours pour récupérer la pièce contre-faite.
Nous mettons à profit cette énième pause mécanistique, pour faire une visite approfondie de la ville de Guilin, Venise chinoise bâtie au bord d'une rivière, canalisée en grande partie par des canaux qui la sillonent. La ville est ponctuée de nombreux lacs, joliment paysagés et éclairés la nuit de lumières très kitch! Cette ballade à pied nous permet de nous extraire du bruit et de la circulation des milliers de scooters qui la parcourent telle une ruche. Sur les quais de la rivière, des femmes font tous les jours leurs séances de Taichi, pendant que les hommes font de la gymnastique. 


D'autres encore, jouent de la musique près du conservatoire de  Guillin, ou chantent le Karaoke le soir au bord du llac. Guilin est une ville vivante, gaie et joyeuse, sorte de villle de villégiature en pleine terre chinoise.

 Retour et visite approfondie au marché








Un drôle d'étal: des souris et des rats grillés












Les faubourgs de la ville nous reservent des surprises. Au beau milieu de la grisaille et du béton, de petis jardinets aménent des touches de couleurs presque incongrues, et toute une vie s'organise autour de l'horticulture.





 
Un examen approfondi du vélo, et nous voyons qu'un rayon est cassé. Réparation dans un petit atelier, cadeau "souvenir de Chine" avec le sourire. Changement des plaquettes de freins, usées jusqu'à la corde et ... mise en place de la nouvelle pièce contre-faite que nous avons récupérée: Camel Bike est prêt à repartir, et nous avec!
Nous sommes au milieu de notre voyage alors que nous repartons pour la troisième fois. Nous faisons nos adieux à l'Hostel et à quelques voyageurs.




David, le patron de Riverside Hostel




















Malheureusement, il s'avère être le 3éme faux départ, le fameux "jamais 2 sans 3"!!!!. Nous chutons lourdement sur le macadam, Sylv tape violemment la tête par terre (merci le casque !) en disant au revoir a tout le monde devant l hostel apres avoir roule...10 METRES cette fois-ci. Nous nous rendons à l'évidence: la pièce n'est pas suffisemment ajustée sur le tube de direction. Bravo pour le depart heroique !! bouhhhhhhh, nous en sommes quittes pour quelques ecchymoses et gonflements. L'avant-bras de Sylvie ressemble a un pilon de poulet ou a une grosse massue mais rien de casse. 

 Nous étions pourtant très confiants, nous avions réussi à nous re-motiver. On n'est pas surs que ce soit possible de repartir à nouveau. On est donc un peu dans la mouise....

Il nous faut nous reconfigurer pour la suite et envisager les solutions et les décisions à prendre. pour rejoindre maintenant le Vietnam.

3 commentaires:

  1. Photos splendides, bravo Maman! Par contre tu pourrais aussi te laisser photographier quelques fois (autres que ton pilon de poulet).
    Plein de bisous à vous deux, on pense bien à vous.
    Hugo

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  2. Toujours aussi passionnant de lire vos récits...que du bonheur, merci de le partager
    Je pense aussi à vous
    Nicolas

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  3. Je pense que tous vos mauvais départs ne sont dûs qu'au complot mené par ce David pour que vous restiez plus longtemps chez lui. Vous auriez dû vous en douter dès le départ, David doit étre un nom de code car ca ne sonne pas très chinois!
    Cécé, la détective privée!

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